Sous prétexte d’absentéisme et de « réorganisation » de la direction de l’Enfance et de l’Education, la CUS accélère le dégraissage des effectifs et prépare une externalisation de l’entretien des écoles, ouvrant ainsi la voie à une privatisation rampante de ce service. Alors que les conditions d’accueil des enfants se dégradent, faute de moyens humains suffisants, la CUS fait le choix de moins de service public et de moins d’agents. Au détriment des personnels, dont les conditions de travail ne cessent de se détériorer, et des usagers. Pour assurer un service d’accueil des enfants de qualité, garantissant leur sécurité et leur confort, il faut créer des emplois statutaires en nombre suffisant.

La FSU exprime sa solidarité avec les agents territoriaux en lutte et appelle à participer au rassemblement du mercredi 5 novembre.